Basse à 7 cordes
D’après Guillaume Barbey,
Paris, 1687
(Musée des Instruments de Musique, Bruxelles)
Basse à 7 cordes
D’après Guillaume Barbey,
Paris, 1687
(Musée des Instruments de Musique, Bruxelles)
Basse à 7 cordes
D’après Guillaume Barbey,
Paris, 1687 (Musée des Instruments de Musique, Bruxelles)
Adaptation (légèrement réduite)
Basse à 7 cordes
D’après Guillaume Barbey,
Paris, 1687
(Musée des Instruments de Musique, Bruxelles)
Basse à 7 cordes
D’après Michel Colichon,
Paris, 1693
(Musée d’Art et d’HIstoire, Genève)
Basse à 7 cordes
D’après Michel Colichon,
Paris, 1693
(Musée d’Art et d’Histoire, Genève)
Basse à 7 cordes
D’après un petit modèle
de Michel Colichon,
Paris, 1683
(Musée de la Musique, Paris)
Basse à 7 cordes
D’après un grand modèle
de Nicolas Bertrand,Paris, 1720
(Musée de la Musique, Paris)
Basse à 6 cordes
D’après Thomas Cole,
Angleterre, vers 1665
(Collection particulière, Paris)
Basse à 6 cordes
D’après Thomas Cole,
Angleterre, vers 1665
(Collection particulière, Paris)
Basse à 6 cordes
D’après un modèle attribué à Henry Jaye, Angleterre, 1649
(Collection particulière, Angleterre)
Elément du consort du Conservatoire (CNSM) de Paris
Basse à 6 cordes
D’après Thomas Cole,
Angleterre, vers 1665
(Collection particulière, Paris)
Basse à 6 cordes
D’après un modèle attribué à Henry Jaye, Angleterre, 1649
(Collection particulière, Angleterre)
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Basses à 7 cordes
Parmi les nombreux luthiers français qui ont fabriqué des violes à 7 cordes à la fin du 17e siècle, je m’inspire principalement des modèles Colichon, Barbey et Bertrand.
Basses à 6 cordes
Ces violes, d’après des luthiers anglais du 17e s. sont bien adaptées pour la musique de “lyra viol” et “division viol” et trouvent également leur place au sein d’un consort de violes.
DECORATION